A chacun sa porte

En flânant dans Paris, on traverse souvent les restes de villages, des micro-quartiers avec de petites maisons colorées, des allées pavées et des glycines qui courent sur les murs… 

Je crois que l’on peut raconter une histoire en regardant la porte de ces maisonnettes. Il est facile d’imaginer qu’au 31 de la rue des artistes vivait un grand monsieur tout maigre alors qu’au 28 de la rue des orchidées (dans la Cité florale) on voyait chaque jour une petite dame toute voutée pousser la porte en bois. Je vous laisse imaginer qui pouvait bien vivre au 42?


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